Des légumes d’hiver que tu sais pas bien quoi en faire ?
Un p’tit yaourt à la grecque qui traine dans ton frigo ?
Tu veux taper dans ta réserve d’épices (ben oui, c’est Ottolenghi quand même !)
Roule ma poule, c’est par ici que ça se passe ↓
Des légumes d’hiver que tu sais pas bien quoi en faire ?
Un p’tit yaourt à la grecque qui traine dans ton frigo ?
Tu veux taper dans ta réserve d’épices (ben oui, c’est Ottolenghi quand même !)
Roule ma poule, c’est par ici que ça se passe ↓
La décadence à l’état pur. J’ai pas d’autres mots pour qualifier cette recette.
Quand tu commences dès 14 heures à te demander ce que tu vas manger le soir et que t’as *légèrement* envie de junkfood, bon ben ça dégénère assez rapidement…
Pour commencer, tu pars sur une vieille recette de potatoesburger, mais en même temps, un vrai morceau de barbaque dedans, ben ça ferait pas de mal…
Et puis tu repenses avec émotion à ton burger de veau et l’idée des poivrons marinés n’était pas complètement dénué d’intérêt.
Enfin, tu repenses à ton choc lipidique du burger de canard et là tu sais que t’es perdu·e à jamais !
Nul besoin de présenter Ottolenghi ni de t’expliquer qu’en tant que fille du sud, sa cuisine me parle particulièrement.
Le coup des 18 gousses d’ail et des 28 litres d’huile d’olive dans la moitié de ses recettes, bon, forcément, il cause à une convertie…
Je t’avoue que je n’ai jamais autant aimé ni autant mangé de persil que depuis qu’on m’a offert son CookBook. J’ai aussi et surtout découvert de nouvelles manières de cuire et de manger les aubergines. Et pour ça, je lui voue une reconnaissance particulièrement élevée voire éternelle…
En attendant et à force de cuisiner et re-cuisiner selon son bouquin, j’ai fini par réaliser une recette qui n’est ni complètement la sienne, ni complètement la mienne. Bref, un mélange des éléments de son cookbook et des ingrédients qui traînent habituellement dans ma cuisine.
En général, on mange cette salade accompagnée de poivrons marinés (rapport au four qui chauffe en plein été, autant le rentabiliser…)
T’imagines bien que j’en ai évidemment fait une recette :
Épisode 3 du guide de survie en milieu culinaire hostile : manger sans sel.
Maintenant que tu t’es un poil arraché le palais avec de l’ail (n’est pas drômois·e qui veut 😉 ), l’oignon et le poivre, je te propose un univers un peu plus doux mais débordant de saveurs.
Il y a quelques mois, je partageais une recette d’anniversaire (un peu longue a réaliser, avec des ingrédients un peu difficiles à trouver mais une peu tellement bonne…) : le wok de Hủ Tiếu à l’aveyronnaise.
Mais comme j’ai toujours pas trouvé le moyen pour que ce soit anniversaire tous les jours, ben j’ai trouvé le moyen de simplifier la recette pour pouvoir la réaliser un soir de semaine par exemple, avec des ingrédients que l’on peut trouver dans le supermarché d’à côté.
Bien entendu, cette recette est compatible avec un régime pauvre en sel (je dis bien *pauvre* et non *sans*). Teneur en sel estimée par personne pour l’ensemble du plat : entre 0.7 et 0.9g.
En faisant le tri dans mes photos, je suis retombée sur celles-ci, alors je partage !
C’est une mini-recette pour l’apéro, très #TeamGras, #GrosseBouffe et #AntiVieSaine, bref, tout ce qu’on aime !
Voici donc, le brie pané !
C’est que Emeline de Vite fait… Bien cuisiné m’a donné bien envie avec sa pastilla aubergines poivrons amandes ! Alors, je me suis inspirée de sa recette pour faire celle-ci.
Pour 2 personnes en repas complet
> 1 paquet de feuilles de brick
> 150g de poulet
> 150g d’agneau
> 2 aubergines
> 2 poivrons
> 1 échalotes
> 1 gousse d’ail
> 1 oeuf
> un peu de persil
> poivre, piment, zaatar, huile d’olive
Le résultat n’est peut-être pas des plus jolis, mais il était des plus goûtus… Alors je le partage, ce serait dommage de louper ça 😉
La prochaine fois, je ferai la même farce, mais avec des conchiglie, car j’ai trouvé ces pâtes très fragiles (peut-être à cause de leur taille) et donc pas très maniables.
Pour 8 grosses pâtes farcies
> 8 lumaconi ou conchiglie
> 4 sardines en filets**
> 1/2 courgette
> 5 cuillères à soupe de sauce tomate* (ou de tomates concassées)
> 1/2 gousse d’ail (facultatif si déjà dans la sauce tomate)
> 1/4 d’oignon (facultatif si déjà dans la sauce tomate)
> 1/4 de bouquet de persil
> huile d’olive
> poivre, piment*Ici : sauce tomate maison avec quelques morceaux d’oignon et d’ail grillés au préalable.
** Les sardines en conserves ne sont pas compatible avec le régime !
Cette recette est laborieuse à réaliser sans robot de cuisine. Personnellement, j’ai toujours eu la flemme avant d’avoir un engin qui émince automatiquement les herbes aromatiques et hache l’agneau. Mais, si tu t’en sens le courage, faut pas hésiter 😉
Pour 6 personnes (3 tomates farcies / personne)
> 18 tomates d’été rondes de taille moyennes bien mûres
> 350g de viande de bœuf hachée
> 350g de viande d’agneau* (tranches de gigot)
> 300g de chaire à saucisse (nature)
> 3 échalotes ou 1 gros oignon blanc
> 2 gousses d’ail (ou 4 pour la version hard)
> 50g de pain rassi
> 1/2 tasse de lait
> 1/2 de bouquet de menthe
> 3/4 de bouquet de persil
> 1/2 de bouquet de coriandre
> sel, poivre, piment doux* Si tu n’as pas de robot bien solide qui peut te hacher l’agneau (et pas de boucher sympa qui le fait… ils sont rares), tu remplaces par un mélange bœuf + porc.
Pour 2 personnes.
> 100g de spaghettis crus (ici, marque Castagno)
> 600g de crevettes entières ou 300g de crevettes décortiquées
> 1 gousse d’ail (version classique) ou 3 gousses d’ail (version drômoise)
> 1 tomate moyenne
> 1/4 de bouquet de persil (ou du surgelé tout prêt)
> un peu de parmesan en copeau ou râpé (pour les autres 😉 )
> de l’huile d’olive, du poivre, du piment (pour se tenir chaud !)