Des légumes d’hiver que tu sais pas bien quoi en faire ?
Un p’tit yaourt à la grecque qui traine dans ton frigo ?
Tu veux taper dans ta réserve d’épices (ben oui, c’est Ottolenghi quand même !)
Roule ma poule, c’est par ici que ça se passe ↓
Toutes nos recettes compatibles avec un régime pauvre en sel.
Des légumes d’hiver que tu sais pas bien quoi en faire ?
Un p’tit yaourt à la grecque qui traine dans ton frigo ?
Tu veux taper dans ta réserve d’épices (ben oui, c’est Ottolenghi quand même !)
Roule ma poule, c’est par ici que ça se passe ↓
Nul besoin de présenter Ottolenghi ni de t’expliquer qu’en tant que fille du sud, sa cuisine me parle particulièrement.
Le coup des 18 gousses d’ail et des 28 litres d’huile d’olive dans la moitié de ses recettes, bon, forcément, il cause à une convertie…
Je t’avoue que je n’ai jamais autant aimé ni autant mangé de persil que depuis qu’on m’a offert son CookBook. J’ai aussi et surtout découvert de nouvelles manières de cuire et de manger les aubergines. Et pour ça, je lui voue une reconnaissance particulièrement élevée voire éternelle…
En attendant et à force de cuisiner et re-cuisiner selon son bouquin, j’ai fini par réaliser une recette qui n’est ni complètement la sienne, ni complètement la mienne. Bref, un mélange des éléments de son cookbook et des ingrédients qui traînent habituellement dans ma cuisine.
En général, on mange cette salade accompagnée de poivrons marinés (rapport au four qui chauffe en plein été, autant le rentabiliser…)
T’imagines bien que j’en ai évidemment fait une recette :
Ra pe ti pe ta pe ti pe ti pe to, chante Boby ;
Pa pe ti pe ta pe ti pa pe ton, cuisine Bouffeporn…
Aujourd’hui, une recette que j’ai toujours mangée chez les autres et jamais réussi à reproduire. Mais alléluia, tout arrive !
Je découvre par la même occasion que ça s’appelle un papeton (que j’ai toujours appelé paneton… va savoir pourquoi).
Je suis très heureuse de découvrir, en lisant l’article wikipédia, que je le mangeais de manière tout à fait traditionnelle : avec un coulis de tomate ; et absolument ravie de découvrir que Monsieur Antoine Augustin Parmentier a un avis éclairé sur le papeton.
Enfin, je suis particulièrement déçue de ne jamais l’avoir goûté cuit dans un « moule ayant la forme d’une tiare pontificale ». J’avoue que ça doit avoir de la gueule et je crois que ce moule manque cruellement à ma cuisine (et qu’il va falloir que j’y remédie très rapidement).
Malgré la présence de fromage et avec ses 0.52g de sel pour l’ensemble du plat, on peut dire que cette recette est :
Aubergine is back !
Avec son fidèle compagnon, le poivron !
Ben ouais, j’ai envie d’te dire, quitte à allumer ton four en plein mois d’août, autant rentabiliser le réchauffement climatique de ta cuisine… Et y fourrer et des aubergines et des poivrons.
L’astuce, c’est qu’il faut grosso modo, le même temps de cuisson au four pour réaliser ce genre de recette (caviar d’aubergine, poivrons marinés, owibergines).
Et astuce n°2, le temps de cuisson au four correspond grosso modo à une bonne grosse sieste de vacances… #RéunissonsNosPassions
Comme les bonnes habitudes ne se perdent pas, cette recette est :
Salut les gnous, aujourd’hui une recette #OwiOwiStyle !
Tu connais pas OwiOwiFouetteMoi ?
DAMN!
Mais tout n’est pas perdu puisque tu peux maintenant t’y vautrer jusqu’à t’en remplir la panse comme à la grande époque !!!
Tu y trouveras des dizaines de recettes, de l’énergie à ras bord, beaucoup de #OwiOwi et une plume de talent.
On aime ? On aime ❤ !
Si y’a bien deux passions qu’on partage toutes les deux, c’est l’aubergine & l’ail.
Allons bon, file découvrir la recette de purée d’aubergines au yaourt sur son blog.
Je te mets ci-dessous la version que j’ai réalisée, qui est, of course :
On va pas s’mentir, traîner sur internet, troisième passion de ma vie (après cuisiner et dormir, bien évidemment !).
Donc autant te dire que traîner sur les blogs de cuisine = passion ultime !
Certains blogs font mon quotidien (liste) et je les suis de (très) près car j’aime : leur ton, leur humour, leur variété, leur originalité, leur quotidienneté (barrer les mentions inutiles ; ou pas…).
Une fois n’est pas coutume, je te propose donc la recette d’une copine qui cuisine.
Je l’ai chipée sur l’excellent blog de Claudine : la Cuisine de Gut (que je te recommande en passant, parce qu’il est clair, fourni, varié et quotidien).
Au fait, reprenons de bonnes habitudes en rendant cette recette :
Bon, il fallait bien faire quelque chose de cette pâte brisée bressane et ce début de printemps nous apporte des courgettes, alors, bim bam boum : une tarte à la farine des gaudes, courgettes, ricotta.
Dites à un·e bressan·e que vous allez faire un truc à base de farine de gaudes, ça va un peu faire la gueule.
Ben ouais, parce qu’à la base, cette farine sert à faire les Gaudes, sorte de soupe épaisse à la farine de maïs torréfié, recette d’hiver, paysanne et très peu onéreuse, pas ce qu’on fait de plus sexy en cuisine de nos jours !
Mais cette farine, à l’odeur et au goût très prononcés, peut se décliner dans d’autres préparations, telle que la pâte brisée.
Et comme d’habitude, cette recette est
Parce que parfois, faut pas trop se prendre la tête, voici une recette simple, rapide et ultra facile de « guacamole ». Bon ok, c’est plutôt un vague écrasé d’avocat, mais bien relevé comme il faut, il tabasse à l’apéro !
T’es prêt·e pour une recette de feignasse qui fait du bien à ton bidou ?
Au fait, tu t’en doutes, mais je le répète, cette recette est
Épisode 3 du guide de survie en milieu culinaire hostile : manger sans sel.
Maintenant que tu t’es un poil arraché le palais avec de l’ail (n’est pas drômois·e qui veut 😉 ), l’oignon et le poivre, je te propose un univers un peu plus doux mais débordant de saveurs.